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on the road again

6 février 2007

forthcoming once et autres américan dreams

ici il est nullement nécessaire de dévoiler la chose qui stimulera le mieu l'encre de ma plume, le reve. Et pas n'importe lequel, le reve américain. Lui qui n'a jamais eu de manifeste ni de testament, si bien que l'on doit le chercher partout ou il pointe le bout de son nez. Le reve américain est une quète, une reflection infinie sur l'épanouissement d'une minorité d'individu croyant s'offrir la paix éternel à 3 dollars la dose, et d'une majorité d'autres individu ayant melés amour gloire et beauté au concept fondateur du plus pitoyable beatniks des 50'S. Il y'a pourtant d'incroyable théorie sur la question que l'on peu entendre prononcer par le premier crétin sa soi disant définition du "reve américain", surtout quand Puff Daddy s'exhibe sur un yoat démesuré, en d'autres mots quand il tente de communiquer sa conquète de l'Amerique. Une colonie de fumiers grandissante a dévalorisé l'Amerique tout entière au point de negliger toutes formes de romantisme antique (le mot est faible), et a poussé dans l'anonymat BigSur, voir Greenwich Village. Une population batarde européenne s'est vue s'enfuir au travers de l'Atlantique pour posséder quelques choses dont elle n'était pas parvenue à acquérir en ses terres. Lamentable. L'indien qui peu-etre 300 ou 400 ans auparavant avait déja exploré l'esprit et l'ame ou dela du corps avait prevue de la façon la plus precoce ce qui se passerai plus tard, bien plus tard, jusqu'à ce roman de William Blake et les portes de la perception. Il méditait de la grandeur de son esprit et chérissait sa terre promise......, sa terre due je pense aussi. le reve americain commence ici, quand la liberté du peuple sans limite allait de pair avec la grandeur du continent, bientot reduit à des divisions territoriales immondes, inadéquates et corrompues, géographiquement découpées en carrés ou rectangle approximatifs qui refletent d'autant plus l'Etat d'urgence et de mépris dans lequel les peuples ont délimités leurs posséssions, nouvelle acqui d'un monde trop restreint. Reste ceux qui en ont fait un cliché cinématographique légèrement teinté de puritanisme et de patriotisme américain, inutile de preciser mon jugement. Quand la vie virevolte et autres révoltes, ces quelques lignes ne repondent pas au reve américain. Une prochaine fois vous dis-je. batist, XXX
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on the road again
  • ceci ressemble à quelques kilomètres supplémentaire du docteur sur la gonzo highway, ou un chapitre supplémentaire à fear and loathin' in LasVegas, ou le dernier roman de Lester avant de mourir dans son vomis, ici on a pas peur des représailles, cela sera
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